L’ironique perversité du truc s’étend jusque dans la stratégie de « Suvi » qui joue bon gré mal gré la stratégie du cache-cache entre les mœurs conservatrices de sa famille et la « société occidentale et libre » dans laquelle ses aînés l’ont fait grandir. Ce qui est normal et ce qui ne l’est pas. Les réactions auxquelles on s’attend et celles qui nous attendent. Est-il lui-même « ce » qu’il est ou ce qu’on pense qu’il « est » ?
Le roman écrit par l’auteur qui pensait que ça l’aiderait à publier son essai citoyen: LOL
1- Tu kiffes et tu gagnes un nouvel auteur à dévorer. OU
2- Tu détestes, « parce que mais parce que » orangina rouge.
(torche-toi avec ou sers-t’en de combustible. C’est 2020 faut être écolo; il servira.)

Cette suite de Mia More ne déroge pas à la règle. Un casting dix étoiles : Nicolas Maury, Ncutie Gatwa, Félix Maritaud, Djanis Bouzyani, Kiddy Smile, Eddy de Pretto, Ben Whishaw, Sir Ian McKellen himself ou encore Xavier Dolan. La musique, toujours omniprésente. Tu passes de Brel à Pearl Jam, de Dinos à Maurane, de Jeanne Mas à Eminem, de Nekfeu à Bach et Shostakovich. Et puis tellement d’autres, les Red Hot Chili Peppers, Aya Nakumara, George Michael et Adele.
Si c’était un film, les têtes d’affiche seraient déjà toutes trouvées, et la bande originale…
Mais ne serait-ce pas un film ? Après tout. La vie, c’est un film ?
Viens demander ça à Mata…
Si seulement c’était un film.